Violations des droits humains à Madagascar dans les zones rurales

28/09/2022

CONSEIL DES DROITS DE L’HOMME
51e session

Le « coup d’État » perpétré le 17 mars 2009 par Andry Rajoelina (actuel président du pays), alors maire d’Antananarivo, a plongé Madagascar dans un cycle de crises institutionnelles successives, de recul de la démocratie et de l’État de droit. La situation des droits humains ne fait qu’empirer : entre corruption, pillages des biens publics et des richesses naturelles, détentions arbitraires, trafics d’êtres humains, exécutions extrajudiciaires, violations des droits des paysans et accaparement des terres, les droits fondamentaux des citoyens malgaches sont constamment bafoués.

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Lire la déclaration orale du CETIM

Catégories Déclarations Droits des paysans DROITS HUMAINS Madagascar
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