Les entreprises réclament explicitement une “place officielle et reconnue à la table des Nations unies” au nom d’un nouveau “multilatéralisme et d’une collaboration inclusifs”. Cette “collaboration” sera, si ce n’est déjà le cas, dramatiquement asymétrique : le secteur privé dispose de beaucoup plus de ressources pour faire avancer son agenda et défendre ses intérêts que les communautés affectées, les ONG et même certains États.
Nous coorganisons avec la Fondation Rosa Luxemburg un atelier dans le cadre de la conférence de la société civile de l’ONU à Nairobi.
Vendredi 10 mai de 18h à 19h30.